Comme il n’est pas possible de se libérer des idées des autres, et comme il ne vaut pas la peine d’avoir des idées si ce sont les idées des autres, avais-je écrit le matin, assis à ma table d’écriture face à la fenêtre qui donne sur le jardin, il faut sans cesse les métaboliser, assimiler en transformant pour assurer le fonctionnement de l’organisme qui pense, qui écrit, qui vit.

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