Après la perte, se nourrit un désespoir qui n’est ni triste ni larmes, mais doux et calme quelquefois. Il ne faut pas renoncer à la colère, c’est-à-dire, mais comme instrument, pas comme arme de poing ni arme de fin.

Après la perte, se nourrit un désespoir qui n’est ni triste ni larmes, mais doux et calme quelquefois. Il ne faut pas renoncer à la colère, c’est-à-dire, mais comme instrument, pas comme arme de poing ni arme de fin.
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