LXXVII. Les femmes fantômes de couleur suivent des hommes qui ne les regardent pas tous les jours tu les vois. Et puis tout autour là dans la rue ces gens déguisés qui chantent et dansent. Dans un coin tapissé d’ombre de l’école des enfants disent… Read More
All posts filed under “Sortes d’extases provisoires”
LXXVI. L’abdomen rouge de la libellule dans le jardin a la beauté radioactive des journées ensoleillées et des incendies de forêts exception faite de la conscience de soi que reste-t-il de la nature une note en marge des écritures une phrase sans rythme un algorithme ?
LXXV. On ferait des films magnifiques de la fin du monde des photos sublimes de la terre brûlée en train de brûler mais on ne pourrait pas les voir les nuages digitaux seraient partis en fumée sur les écrans plus que des points d’interrogation blancs… Read More
LXXIV. Signes étranges de l’autre côté du pare-brise à l’intérieur c’est plus qu’une impression les gens essaient de communiquer mais c’est pire me dis-je que s’ils s’amusaient à communier de l’autre côté du pare-brise ce matin les reflets sur la vitre masquent un peu le… Read More
LXXIII. Klaxonnent les mariés au loin pourquoi ce tapage inutile ? je n’ai jamais compris je me tais.
LXXII. Parfois par flashs la vie apparaît aussi réelle qu’elle est l’odeur du monde après la pluie le besoin de toucher la matière douleurs fantômes dans le corps des enfants.
LXXI. Quelqu’un va-t-il arrêter de faire semblant ?
LXX. Ne cherche pas à disparaître apparaître non plus quand tu y réfléchis un moment présent dis quelle différence ça fait ?
LXIX. Ombres derrière l’épaule peut-être même pas rigueur du singulier et s’il y avait une ombre ? tu te retournes brusque geste tout le corps est impliqué mais il n’y a rien à voir que sont dès lors ces sensations d’un être qui n’existe pas ?
LXVIII. Le mimosa a séché mort dans sa plus pure jeunesse jaune.
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