Combien y a-t-il de façons de faire les choses — une, beaucoup, une infinité ? Si tu t’interroges, disons, sur le sens des questions, des questions que tu te poses, combien de sens penses-tu qu’elles auront — un seul, beaucoup, une infinité ? Il y a peut-être autant de… Read More
All posts tagged “musique”
3.5.19
Il y a tellement de choses à dire qu’il y a trop de choses à dire. Et du coup, plus personne ne dit plus rien ? Ce serait tellement bien. Ce matin, en écrivant un texte dont je ne veux pas parler, j’ai pensé à cette… Read More
31.12.18
Ne nous faut-il pas envier, d’une certaine manière, les gens à certitude (note : comment les appeler, les « certitudineux » ?), ceux pour qui le monde est bien organisé selon des tables de contraires claires et lisibles, et auxquelles on peut se référer sans réfléchir pour appréhender le… Read More
1.12.18
Tout à l’heure, je me suis endormi sur le canapé de mon père. Comme quand j’avais 15 ans, comme quand j’en avais 25, 30, et caetera. J’étais bien. Est-ce que j’étais vraiment bien ? Je ne sais pas. J’avais envie de dormir. Plus envie de dormir… Read More
6.9.18
J’ai commencé cette entrée de mon journal en racontant une saynète que j’ai effacée ensuite parce que je n’avais pas envie de la raconter. J’aurais pu. Je l’ai d’ailleurs racontée à Nelly. Mais ce n’était pas franchement intéressant. La pauvre. Oh, n’exagérons rien, tout de… Read More
27.7.18
Chaud en voiture — la vieille, que papa nous prête parce qu’il ne s’en sert plus, pas l’autre — entre Bonneveine et le Camas. Midi en été. La dissolution de l’individualité est terrifiante pour celui qui écrit. C’est ce que je pense, en tout cas. Ce… Read More
20.7.18
Lénifiantes Triadic Memories de Morton Feldman. Dans l’après-midi, j’aurai écouté Palais de Mari, For Bunita Marcus (interrompue à cause d’un problème de fichier), et donc Triadic Memories. Étrange climat sonore : la musique de Feldman, le vent qui souffle et fait tinter aléatoirement le cordon pour allumer… Read More
22.6.18
11 kilomètres, ce matin. Je n’avais pas envie de travailler, pas envie de finir la traduction du troisième volume des araignées et je n’avais pas encore reçu les épreuves du deuxième. Aussi, après avoir accompagné Daphné à la crèche parce que Nelly avait un rendez-vous… Read More
10.3.18
Au pays de la censure positive, la joie d’interdire est toujours partagée. Les peuples sont des masses violentes ; — surtout quand ils se délitent. La route — cinq heures. Entre Gênes et Marseille. Moitié Nelly, moitié moi. Une partie sous la pluie en écoutant Plume de… Read More
31.1.18
Funérailles de la fiction. Funérailles de la fiction, oui, c’est ce que j’ai écrit dans le carnet couleur olive, en fin de matinée, après être allé courir, ainsi que deux autres remarques sur l’époque, l’obsolescence et la posthumité, moins pour déclarer la mort de la… Read More
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